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L’ozone inhibe le COVID 19 (SARS-CoV-2)

Dans le cadre de la pandémie actuelle, de nombreuses études sont réalisées par des chercheurs, des universitaires et des médecins sur l’efficacité de l’ozone dans le cadre de la désinfection. Parmi celles-ci voici une étude réalisée et parue dans la revue AÉROSOL SCIENCE AND ENGINEERING, revue dirigée par le Docteur Junji CAO.

étude ozone sur le coronavirus

 

Résumé de l’étude sur l’action de l’ozone

 

Cette étude met en lumière l’action de la désinfection à l’ozone sur le COVID et cela même avec des concentrations minimes. Ces éléments ne font que confirmer la capacité des molécules d’ozone (O3) à réagir directement avec les biomolécules. Cette recherche a été soutenue par l’Académie Chinoise des Sciences.

 

En voici un court résumé : « Le nouveau coronavirus 2 du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV-2) a causé des millions de décès actuellement. La mise en place de réponses efficaces à la pandémie est devenue une priorité absolue pour les gouvernements du monde entier. Des expériences en laboratoire ont confirmé pour la première fois que la fumigation avec de l’ozone (O3) à de faibles doses d’O3 (7 500 à 15 000 g m−3·min) peut inhiber le SRAS-CoV-2 et inactiver le virus à des doses élevées d’O3 (129 000 μg m -3·min). Le nombre de copies d’ARN du SRAS-CoV-2 a considérablement diminué (réduction de 95,9 à 97,7 %) lorsqu’il est exposé à l’O3 à une faible concentration de 250 g m-3 pendant 30 et 60 min. Une relation négative significative entre le nombre de cas confirmés de SRAS-CoV-2 et l’O3 ambiant dans les villes chinoises a indiqué que la propagation du SRAS-CoV-2 pourrait avoir été inhibée par un O3 élevé. Une analyse des données de Chongqing a montré que la transmission du COVID-19 augmentait lorsque les rapports de mélange d’O3 dans l’air étaient relativement faibles, et que la transmission diminuait lorsque l’O3 augmentait. Sur la base de ces résultats, nous proposons également une nouvelle méthode d’émission d’O3 de sécurité (SOE) pour augmenter l’O3 intérieur à des niveaux (< 160 g m−3) qui inhibent la transmission du SRAS-CoV-2 mais ne sont pas nocifs pour l’homme. Cela pourrait constituer une solution rapide et peu coûteuse pour supprimer les épidémies de COVID-19 dans le monde. »

 

Plus de détails sur l’étude

 

Pour lire la totalité de l’article nous vous invitons à suivre le lien suivant  sur le site europepmc.org, et notamment la conclusion : http://europepmc.org/article/PMC/PMC8378106#id651058


Cao J, Zhang Y, Chen Q et al. Le gaz d’ozone inhibe la transmission du SRAS-CoV-2 et fournit des mesures de contrôle possibles Science et ingénierie des aérosols. 2021 août : 1-8. PMCID : PMC8378106.