Sélectionner une page

 

Évaluation de l’efficacité antimicrobienne du rayonnement UVC, de l’ozone gazeux et des produits chimiques liquides utilisés pour la désinfection des matériaux d’empreinte dentaire en silicone.

 

L’ozone gazeux a de multiples applications, seul ou combiné. Dans cette étude il est abordé le sujet de la désinfection des empreintes dentaires. L’ozone en dentisterie n’est pas une nouveauté.

Ce résumé n’a fait l’objet d’aucune modification et il est publié sous licence COMMONS. La traduction en français été réalisée par un logiciel automatisé.

En fin de page vous trouverez les liens vers la version originale.

Résumé de l’étude intégrant l’ozone

 

« Une désinfection efficace des empreintes dentaires est une condition indispensable pour la sécurité du personnel dentaire et des patients. La méthode idéale doit être non seulement efficace, mais aussi pratique, bon marché et respectueuse de l’environnement. Cette étude visait à évaluer de manière fiable l’efficacité du rayonnement ultraviolet C (UVC), de l’ozone gazeux et des produits chimiques liquides commerciaux utilisés pour la désinfection des empreintes dentaires en silicone. Ces méthodes ont été appliquées à deux types de matériaux d’empreinte élastomères : les silicones de condensation et les silicones d’addition de différentes consistances (putty, medium et light). L’efficacité antimicrobienne contre Pseudomonas aeruginosa, Staphylococcus aureus et Candida albicans a été évaluée in vitro en comptant les unités formant colonies (UFC) à la surface des échantillons.
L’ANOVA à un facteur avec un test Tukey HSD ou le Kruskal-Wallis avec un test de Dunn a été réalisé. Les résultats obtenus ont révélé l’efficacité des méthodes proposées pour la désinfection des silicones C et des silicones A dans la plupart des groupes étudiés. Un seul matériau (Panasil initial contact Light) n’a pas été désinfecté efficacement après irradiation UVC ou application d’ozone.
En conclusion, le potentiel de chaque méthode de désinfection doit être évalué séparément pour chaque matériau. De plus, dans des recherches ultérieures, l’influence possible des méthodes proposées sur les propriétés physiques des matériaux d’empreinte doit être étudiée de manière approfondie. Un seul matériau (Panasil initial contact Light) n’a pas été désinfecté efficacement après irradiation UVC ou application d’ozone. En conclusion, le potentiel de chaque méthode de désinfection doit être évalué séparément pour chaque matériau.
De plus, dans des recherches ultérieures, l’influence possible des méthodes proposées sur les propriétés physiques des matériaux d’empreinte doit être étudiée de manière approfondie. Un seul matériau (Panasil initial contact Light) n’a pas été désinfecté efficacement après irradiation UVC ou application d’ozone. En conclusion, le potentiel de chaque méthode de désinfection doit être évalué séparément pour chaque matériau. De plus, dans des recherches ultérieures, l’influence possible des méthodes proposées sur les propriétés physiques des matériaux d’empreinte doit être étudiée de manière approfondie. »