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L’ozone gazeux par voie de nébulisation pour traiter les maladies respiratoires pulmonaires suite aux infections du COVID-19

 

L’usage de l’ozone durant la pandémie COVID-19 a fait ses preuves. Mais d’autres applications sont possibles en thérapie.

Ce résumé scientifique n’a fait l’objet d’aucune modification et il est publié sous licence COMMONS. La traduction en français été réalisée par un logiciel automatisé. En fin de page vous trouverez les liens vers la version originale.

 

Résumé de l’étude de l’ozone sur le COVID-19

 

Résumé 

« L’objectif de cette étude était de fournir une désinfection pulmonaire en nébulisant de l’ozone gazeux avec de l’eau distillée et de l’huile d’olive pour les patients présentant des symptômes cliniques dus à la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19). L’étude a tenté de réduire la charge virale de COVID-19 dans les poumons des patients, afin de fournir une réponse plus rapide au traitement médical. 
Entre août 2020 et septembre 2020, 30 patients répondant aux critères de l’étude ont été évalués de manière prospective. Il y avait 2 groupes avec 15 patients dans chaque groupe : les patients du groupe témoin n’ont pas été traités à l’ozone et n’ont reçu qu’un traitement COVID-19 standard ; les patients du groupe ozone ont reçu une technique de désinfection pulmonaire avec de l’ozone et un traitement COVID-19 standard. 
Une différence statistiquement significative a été trouvée dans la durée du séjour à l’hôpital, la variation de la protéine C-réactive, résultats de la réaction en chaîne par polymérase après 5 jours et scores de tomodensitométrie entre deux groupes. Il n’y avait aucune différence statistiquement significative dans les D-dimères, l’urée, la lactate déshydrogénase, les lymphocytes, les leucocytes et les plaquettes entre les deux groupes. 
Selon les données, nous pensons que la technique de désinfection pulmonaire appliquée avec l’inhalation d’ozone réduit le taux de pneumonie chez les patients COVID-19 et fait que les patients répondent plus rapidement au traitement et deviennent négatifs selon les tests de réaction en chaîne par polymérase. L’étude a été approuvée par le comité d’éthique des essais cliniques de l’Université Medipol d’Istanbul (approbation n° 0011) le 2 juillet 2020. et plaquettaire entre deux groupes. Selon les données, nous pensons que la technique de désinfection pulmonaire appliquée avec l’inhalation d’ozone réduit le taux de pneumonie chez les patients COVID-19 et fait que les patients répondent plus rapidement au traitement et deviennent négatifs selon les tests de réaction en chaîne par polymérase. 
L’étude a été approuvée par le comité d’éthique des essais cliniques de l’Université Medipol d’Istanbul (approbation n° 0011) le 2 juillet 2020. et plaquettaire entre deux groupes. Selon les données, nous pensons que la technique de désinfection pulmonaire appliquée avec l’inhalation d’ozone réduit le taux de pneumonie chez les patients COVID-19 et fait que les patients répondent plus rapidement au traitement et deviennent négatifs selon les tests de réaction en chaîne par polymérase. L’étude a été approuvée par le comité d’éthique des essais cliniques de l’Université Medipol d’Istanbul (approbation n° 0011) le 2 juillet 2020. »

 


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